BD Traces (Travail en cours)


Pitch :
Cinq inconnus
Perdus dans une terre mystérieuse,
Divisée entre le merveilleux
Et l'horreur.
Parmi eux, un loup.
Mais leur pire ennemi n'est peut-être pas lui...








Thèmes et intentions :
Le titre fait référence aux traces physiques et spirituelles qui marquent et définissent notre identité (cicatrices, tâches, éducation, souvenirs, préjugés), mais aussi à celles que l'on laisse sur la nature et les uns sur les autres. Rien n'efface les empreintes de pas que l'on a déjà posées dans le cheminement de la vie, et on reste dominés par ces traces du passé, mais on peut toujours choisir dans quelle direction les diriger à l'avenir.


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MERCI à tous ceux qui ont voté pour ma BD pendant le concours Amilova.

Traces a obtenu 268 votes uniques du public et fini 39e sur 120 participants initiaux.

Le concours fût très long et difficile (5 mois à raison de 2 pages par semaines à poster sous peine de disqualification) et nous n'étions plus que 64 la dernière semaine ! Mais c'était un formidable challenge et quand on regarde tout le travail abattu, aucun regret ! Un grand ENORME merci à tous ceux qui m'ont soutenue et particulièrement à mes modèles : Emma, Sabria et Régis ^.^ !

Commentaires

Xilamech a dit…
Histoire intéressante, l'artwork est bien travaillé, reste le scénario à peaufiner mais vu que l'histoire n'est pas terminée, il n'y a pour le moment rien à redire, ce serait critiquer avant d'avoir tout vu.
Corinne Esteryn a dit…
Merci pour ton retour encourageant !

J'ai écrit le scénario il y a dix ans puis enterré. Je l'ai repris et peaufiné il y deux ans, sur les conseils des amis/profs qui pensaient qu'il fallait le publier. Mais j'ai pas osé.

Là l'administrateur super sympa d'un concours de BD m'a encouragé à travailler et déposer un dossier avant la fin du mois, du coup j'essaie avec ce scénar, vu qu'il a plutôt bien plu, et on verra si c'est accepté.

C'est un vrai challenge ce genre de dessin narratif et la rapidité/technique d'exécution requise, alors merci pour tes encouragements !
Xilamech a dit…
Le côté "les graines de la haine" que l'on sème et qui ne s'effacera jamais peut être vrai du côté fataliste mais il existe aussi de l'optimisme sans quoi les Français et les Allemands chercheraient encore à se tuer après la 2nd Guerre Mondiale...

Toute haine semée peut être réparée, elle ne s'effacera pas de l'histoire mais sera transformé en quelque chose de nouveau, c'est ce qu'on appelle l'optimisme ou encore la diplomatie (pas dans le sens "langue de bois")
Corinne Esteryn a dit…
Ton commentaire est tout à fait pertinent. C'est le genre d’idée que je cherche à transmettre (cf. « thèmes et intentions »). Cette BD abordera des thèmes sombres, mais son but est d'éviter de sombrer dans les extrêmes pessimisme fataliste/optimisme simpliste, donc à la fois de ne pas se voiler la face, mais sans non plus se vautrer dans le glauque.

Le texte des "graines de haine" introduit le chapitre le plus sombre de l'histoire, quand les personnages qui essayaient de fuir leur passé vont être rattrapés par ce dernier. Ils vont devoir affronter des choses qu'ils n'ont jamais réussi à surmonter et cela leur sera évidement difficile.

Ce poème est dur, car il illustre leur situation présente. Il établit un fait. Il parle d'acceptance : "= certains faits ont lieu et rien ne sert de les nier : il faut vivre avec".Et évidement cela n’est pas facile. C'est une opposition au proverbe "le temps guérit tout" qui minimise et banalise la souffrance que peuvent rencontrer les gens.

D’où la couverture de la bd : il y a une lumière au bout du tunnel, mais il faut réussir à l’atteindre. Certains ne sont même plus capables de la voir tellement ils vont mal. Ce n’est pas une fatalité (ils peuvent en effet toujours s’en sortir) mais c’est un fait (ils ont du mal à y arriver). Et il leur faut gérer cette situation (clairement, positiver les aidera, mais sans le recul, ils n’en sont pas capables).

L’histoire parle de comment on laisse des traces les uns sur les autres et sur la nature, des conséquences de nos actions, comment on peut vivre au mieux avec certes (en arrivant à les vaincre, ce qui permet ensuite de positiver tout à fait), mais aussi qu’on pourrait éviter tout ces maux en essayant de faire que ces marques soient plus positives (création) que négatives (destruction).

Certes les rapports franco-allemands vont mieux, mais ça aurait été pas plus mal qu’il n’y ait pas de guerre et d’éviter toutes ces morts et souffrances.